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CGT : les appels au départ de Thierry Lepaon se multiplient
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Déclaration de la région CGT Métallurgie Nord/ Pas-de-Calais :
MOTION de l’Union Locale CGT de Royan et ses Environs
Appel des UD CGT, FO, FSU, Solidaires de Haute-Loire
http://www.frontsyndical-classe.org/2014/12/appel-des-ud-cgt-fo-fsu-solidaires-de-haute-loire.html
Appel CGT FILPAC
http://www.frontsyndical-classe.org/2014/12/appel-cgt-filpac.html
CGT Position de la fédération des Services Publics
http://www.frontsyndical-classe.org/2014/12/cgt-position-de-la-federation-des-services-publics.html
CGT : position de l'UD du Tarn et Garonne
http://www.frontsyndical-classe.org/2014/12/cgt-position-de-l-ud-du-tarn-et-garonne.html
Lettre de la CGT Capgemini :
http://tendanceclaire.npa.free.fr/contenu/autre/Lettre%20CGT%20Capgemini%20au%20CEC.pdf
Syndicat Local Construction Bois et Ameublement 31 :
http://tendanceclaire.npa.free.fr/contenu/autre/Bois_et_ameublement_31_Adresse_%C3%A0_la_CEC.pdf
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(Les Echos) Les 129 premiers dirigeants de la CGT se retrouvent lundi pour discuter des affaires financières impliquant le numéro un cégétiste.
Lundi matin, les 129 premiers dirigeants des fédérations et unions départementales de la CGT se retrouvent au siège de la centrale, à Montreuil, pour discuter des conséquences des affaires financières impliquant Thierry Lepaon, le numéro un cégétiste. Seront là tous les membres du Comité confédéral national (CCN), le « parlement de la CGT », instance souveraine entre deux congrès et dotée de larges pouvoirs dont celui de démettre son premier dirigeant. Sauf ceux qui ont décidé de boycotter la réunion. Mais il ne faut paradoxalement attendre de ce rendez-vous aucune décision concrète : formellement, il s’agit d’une simple assemblée générale, pas d’un CCN. En la convoquant, Thierry Lepaon cherchait justement à éviter de se retrouver formellement devant son parlement. La manœuvre a échoué. La démission du trésorier, Eric Lafont, mardi dernier, a imposé sa convocation pour désigner un successeur. Un CCN extraordinaire aura lieu le 13 janvier. De toute façon, l’afflux de demandes en ce sens rendait le rendez-vous incontournable. Mais cela ne fait pas de la réunion d’aujourd’hui une formalité.
Lepaon de plus en plus isolé
Au contraire même, elle revêt dans ce contexte un double enjeu. Le premier est de prendre le pouls de la centrale, même si tout le monde ne va pas se dévoiler, certains n’ayant même pas encore de mandat précis de leur structure. La rencontre s’annonce donc périlleuse pour Thierry Lepaon, incapable de rassembler. Toujours déterminé en fin de semaine à ne pas démissionner, il pourrait mettre de l’huile sur le feu, comme au dernier CCN, début novembre. Le second enjeu est très concret : c’est la fixation de l’ordre du jour du 13 janvier. Formellement, c’est demain que la commission exécutive va l’écrire, mais les débats d’aujourd’hui auxquels participeront ses 56 membres pèseront lourd. La question du départ de Thierry Lepaon y figurera-t-elle explicitement ? En tout cas, ce sera bien le cœur du sujet lundi alors que le leader cégétiste est de plus en plus isolé.
Le sujet est resté longtemps tabou. Thierry Lepaon ne s’est pas privé de s’appuyer sur la très forte culture légitimiste de la CGT, en plus de l’argument classique d’un complot de la presse, fragilisé par le fait qu’il n’hésite pas à l’instrumentaliser lui-même, en témoignent les 4 pages sur son « lynchage » dans le dernier « Humanité dimanche ».
Mais l’affaire de sa prime de départ a changé la donne et depuis le 5 décembre, au lendemain des élections dans la fonction publique, les demandes de démission du secrétaire général affluent : SNJ-CGT, Union générale des fédérations de fonctionnaires, Région Midi-Pyrenées, fédération des Services publics… Jusqu’à la fédération de la santé, dont la secrétaire générale s’est vue imposer jeudi par son comité fédéral de discuter aujourd’hui de la question du départ du numéro un. Comme les autres proches de Nadine Prigent, candidate malheureuse à la succession de Bernard Thibault, et ceux d’Agnès Naton, qui avait essuyé la même déconvenue, cette responsable s’était d’abord rangée derrière Thierry Lepaon. Mais les uns et les autres ont pris acte du caractère désormais incontournable d’un départ de Thierry Lepaon et espèrent garder la main en obtenant la démission de tout le bureau confédéral.